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Avant de parler de la crise, il faudrait d'abord définir ce
qu'on entend
par crise. Pour la plus grande partie de la population, la crise c'est
le chômage, la stagnation ou la baisse des revenus avec toutes les
conséquences que cela entraîne. Mais dans le même
temps, il faut savoir que la vente de voitures de grand luxe se porte
bien, que le
nombre de milliardaires augmente. Autrement dit, la crise dépend
du point de vue où on se place.
Alors,
première question, y-a-t-il une crise
généralisée, au moins en
Occident, ou s'agit-il seulement d'une modification des rapports
sociaux qui a abouti à transférer une partie croissante
de la richesse de la masse de la population vers une minorité de
riches ?
Je propose un autre point de vue pour aborder l'analyse.
Commençons par
quelques statistiques concernant la production (en volume, millions
de tonnes). Production de ciment dans le monde (2010, CEM bureau) :
Chine : 56%, USA : 2% soit environ la même chose que l'Iran.
Production d'acier dans le monde: Chine : plus de 50%, USA environ
4%.
Visualisons l'évolution en volume de la production, par
exemple celle
de véhicules (Graph. CIESINT, 2010).
Vous remarquez la chute de la production de l'Europe, des Etat-Unis et
la
hausse fulgurante de celle de la Chine. Aujourd'hui, cela s'est
encore aggravé. La production chinoise actuelle est
supérieure à la production réunie de l'Europe et
des Etats-Unis. Vous
remarquerez aussi l'accroissement assez important de la production de
l'Inde
même si elle est plus discrète. On pourrait construire des
graphiques
plus ou moins similaires avec la construction navale, la production
de trains (y compris de trains à très grande vitesse),
l'industrie des produits électroniques, la construction d'avions
civils,
etc... Vous avez de nombreux graphiques et photos dans ce site pour
mieux
visualiser cette situation. Depuis 30 ans, la production de la Chine
et d'autres pays non occidentaux est en forte croissance, alors que
la production occidentale est en baisse et ces tendances
s'accélèrent. Il en est de même pour le monde de la
technologie.
Premier élément de la crise, le volume de la
production de
l'économie réelle est en chute croissante en Occident,
non seulement
relativement au reste de la planète mais même en valeur
absolue. Les autres pays n'ont plus besoin de nous ni sur le plan des
produits, ni sur le plan de la technologie, c'est même le
contraire ! Nous dépendons des autres pour les matières
premières, les ressources énergétiques mais aussi
pour de nombreux
produits.
Si nous examinons l'évolution de la consommation depuis 30
ans, nous ne trouvons pas une diminution correspondante de celle-ci.
Jusqu'au début 2008 c'est même presque le contraire!
Comment est-ce possible ?
Un premier élément de réponse est qu'il
y a une différence entre production en volume et production en
valeur.
Si un produit chinois est vendu 1000 euros alors que le produit
occidental
équivalent est vendu 10.000 euros, même si la Chine a une
production 5 fois supérieure en volume, en valeur cela est
représenté comme une production égale à 50%
de celle de l'Occident.
Deuxième élément de réponse, la
création de « l'industrie
financière » a permis à l'Occident de
créer de l'argent sans contrevaleur dans l'économie
réelle. Le graphique suivant
illustre cela:
Vous remarquerez que la chute du secteur financier en 2008 a
été
rapidement corrigée. Comment? Grâce à la
création de dizaines de milliers de milliards qui ont
été
«donnés» au secteur financier pour
« sauver les grandes banques» En clair, nous avons
payé et continuons de payer nos importations,
c'est-à-dire la plus grande partie de notre consommation avec du
vent. Pourquoi les autres pays ont-ils accepté cela ?
Après la chute de l'URSS vers 1990, il n'y avait plus de
puissance militaire
capable de s'opposer à l'Occident, du moins jusqu'il y a
quelques
années. Les pays qui ont essayé de refuser ce
marché de dupes se sont fait massacrer, comme l'Irak ou la Libye
par exemple. C'est
aussi la cause principale de l'animosité des Etats-Unis envers
l'Iran. Si ce pays n'a pas encore été ouvertement
attaqué c'est uniquement à cause des défaites
israéliennes face
au Hezbollah libanais et à l'industrie iranienne de l'armement.
Chaque fois
que des préparatifs de guerre ont été fait contre
l'Iran, ce pays a sorti un nouvel atout de sa manche sous la forme
d'une avancée
militaire suffisante pour faire réfléchir les attaquants.
Aujourd'hui la puissance militaire iranienne est telle qu'une attaque
contre ce pays déclenchera la phase aigüe de la
troisième guerre mondiale (qui serait perdue par l'Occident).
Mais il faut ajouter
à cela qu'aujourd'hui, la puissance militaire chinoise est
suffisante
pour permettre à ce pays de faire face à l'Occident, sans
parler de la renaissance de la puissance militaire russe. Ce changement
des
rapports de force militaire est la conséquence principale du
basculement de la production et de la technologie de l'Occident vers
l'Asie. Ce basculement est lui-même la conséquence de
la prise du pouvoir par le monde financier en Occident.
La stratégie de prise du pouvoir par le monde financier s'est
accélérée au début des années 1970
avec, entre autres, Nixon et Pompidou. Nixon a coupé la relation
entre le dollar et l'or et,
en mettant en scène la guerre israélo-arabe de 1973, a
permis de lier le dollar au pétrole, ce qui a donné la
possibilité aux Etats-Unis de créer des dollars à
volonté. On a alors
parlé des « pétrodollars ». Cela
est une des causes
de la chute de l'URSS, même si la principale est d'ordre interne.
Pompidou (un bras droit du banquier Rotschild) a fait passer des lois
qui ont interdit au gouvernement français
de créer lui-même son propre argent, d'imprimer sa propre
devise et contraint celui-ci à emprunter aux banquiers avec
payement
d'intérêts. Une politique tout aussi favorable aux
financiers a été poursuivie par Thatcher en Grande-
Bretagne et d'autres politiciens dans presque tous les pays
Occidentaux. Le
résultat a été la croissance de l'industrie
financière, la création des produits
dérivés du crédit aux
Etats-Unis (pour une valeur officielle d'environ 700.000 milliards de
$, mais une valeur
réelle estimée entre 1.500.000 et 5.000.000 milliards de
$ selon les sources. Si on rappelle que le Produit National de la
Planète est d'environ 55.000 milliards de $, on commence
à mesurer
l'absurdité de la situation).
Un sujet d'étude qui pourrait être intéressant
serait la comparaison de l'évolution en Grande- Bretagne de la
production
de l'économie réelle (en volume)
sous Thatcher et sous les bombardements de Hitler pour voir ce qui a
été le plus efficace pour réduire cette
production...
Après la chute de l'URSS, les milieux occidentaux les plus
riches ont travaillé fébrilement pour obtenir à
nouveau
la part du produit national dont ils disposaient avant la
révolution
communiste de 1917, après laquelle ils avaient été
obligés de « lâcher du lest » pour
éviter la révolution dans leurs
propres pays. Jusqu'il y a peu, la tâche leur fut grandement
facilitée
par cette industrie financière qui leur a permis de donner
l'illusion
d'une certaine continuité de la richesse occidentale grâce
à la forte augmentation du crédit octroyé pour
compenser la chute du
pouvoir d'achat des salaires depuis la fin des années 70. En
outre, le
transfert des moyens de production hors de l'Occident leur permettait
de reléguer loin de leur pays le « danger d'une
révolution prolétaire » et de lier
indirectement les
intérêts de la population aux leurs, en remplaçant
les emplois dans
l'économie réelle par des emplois associés
directement ou
indirectement au monde financier (banques, assurances,
spéculation
immobilière, marketing...). Cerise sur le gâteau, ils ont
même
pensé à créer des produits financiers
associés à la production
réelle par le biais de la pollution que celle-ci engendre, ce
furent les
« droits de pollution » liés à la
production de CO2.
Ainsi, les pays occidentaux pourraient continuer de réduire leur
production et
donc leur pollution pour échanger leur « droit de
polluer » contre des produits et ressources des pays
producteurs, créant
une forme de rente habillement déguisée.
Ce « beau projet » n'a pas marché. Les
pays producteurs, comme la Chine par exemple, ont profité de
cette politique pour
accélérer le développement de leur économie
réelle tout en n'étant pas dupes des intentions de
l'Occident. Le
résultat de cette politique est ce que nous avons
constaté au début
de cet article. De plus, comme produire devenait beaucoup moins
rentable que
par exemple la spéculation immobilière, pourquoi chercher
à développer la production, les technologies ? Pourquoi
se former
dans les filières qui débouchent sur l'économie
réelle ? Le résultat ? Il y a de moins en moins de gens
formés dans les
métiers liés à l'économie réelle, de
moins en moins d'outils de
recherche, d'entreprises de production alors que c'est le contraire
dans
beaucoup de pays non occidentaux. Nos dirigeants n'ont-ils pas su
voir venir ce que cette évolution impliquerait ?
Pour répondre à
cette question il faut envisager deux aspects du problème. Le
premier est que
la plus grande partie des milieux dirigeants (et d'ailleurs de la
population) croit que la vraie richesse c'est l'argent. L'immense
majorité des gens ne se rendent pas compte que seul
sur une île déserte sans eau potable ni ressource avec
juste une valise pleine d'argent
ils vont mourir rapidement, ce qui démontre que l'argent n'est
pas la vraie richesse. Ce problème est analysé plus en
détail dans l'article « Quelle
valeur a l'argent ? ». L'argent n'est qu'un moyen
d'accès à la
richesse. Acheter c'est échanger de l'argent contre des
produits ou services, mais pour qu'il y ait
des produits, il faut des producteurs disposant des moyens et
ressources nécessaires. Créer plus d'argent ne
crée pas plus de richesse réelle. Cela change seulement
la répartition de
l'accès à la consommation, à condition
que les producteurs acceptent de continuer à échanger
leurs produits contre cet argent créé à partir de
rien.
Quel est l'intérêt des producteurs à
échanger leurs produits
contre nos devises si nous n'avons plus rien à leur offrir ? Ils
peuvent décider de se passer de nos devises pour le commerce
international entre leurs pays. C'est ce qui est en train de se faire
au moyen de « swaps entre leurs propres devises qui
leur permettent de commercer directement avec leurs propres monnaies.
C'est pour cela que de plus en plus de « news »
parlent de la crise du dollar et de la fin de son utilisation comme
devise de
réserve pour le commerce international. Le problème dans
nos pays est que la grande majorité des gens ont
réellement cru
qu'en gagnant plus d'argent ils augmentaient vraiment leur richesse.
Cela
fut d'autant plus vrai que notre système économique
impose la primauté de l'argent et non celle de la production.
Même
aujourd'hui, ils ne peuvent imaginer que cette richesse
monétaire
pourrait ne plus rien valoir si nos devises n'étaient plus
acceptées par les autres pays. Ils ont donc collaboré
pleinement et
même amplifié fortement le développement de
l'industrie
financière sans en comprendre les conséquences.
Quant à ceux, plus proches du sommet et qui savent pertinament
bien que l'argent n'est qu'une façon déguisée de
s'emparer de ce qui est produit par d'autres, n'ont-ils eux non plus
rien vu venir?
Et bien, non! Ils ont crû que leur astuce leur ayant permis de
contribuer à la chute de l'URSS, ils étaient devenus les
maîtres du monde. Quant à la possibilité que
d'autres
civilisations puissent utiliser des systèmes d'analyse, de
gestion, de
réflexion, supérieurs aux leurs, cela leur a
été et leur est
d'ailleurs toujours absolument impensable. Ils sont totalement
coupés du
monde réel et se prennent pour des dieux, les autres
civilisations ne
pouvant que leur être inférieures. Pour comprendre leur
façon de penser, je vous conseille de lire l'article
« Sociétés
et motivations ».
Alors, il y a bien une crise aujourd'hui. La misère croissante
des populations occidentales est essentiellement le résultat de
l'action politique des milieux dirigeants mais elle va s'aggraver parce
que la
crise de l'économie réelle occidentale est
extrêmement profonde, dépasse le cadre des luttes
politiques internes et
va d'ailleurs finir par toucher également les classes plus
aisées.
Il n'y aura pas de retour en arrière. L'Asie a repris la place
qui fut la sienne depuis des millénaires jusqu'au début
des
années 1800. L'Occident va devoir apprendre à produire
plus et
consommer moins. Cette évolution n'a même pas encore
commencé
parce qu'elle impliquerait que soit mis fin à la domination du
monde
financier. Notre civilisation, dont les classe supérieures sont
composées essentiellement d'ultra-individualistes qui
privilégient le
court terme et la consommation, ne peut faire face aux contraintes du
monde
actuel. Et cela d'autant plus que le reste de la population a subi
une programmation intense au travers de son éducation et
continue à être manipulé par les médias et
les politiques de
façon à vivre dans l'angoisse que le pouvoir propose
d'apaiser en lui
« montrant le chemin à suivre ». Les
minorités qui se
refusent à suivre ce chemin risquant de faire face à une
répression
croissante. Tout cela sans parler de conditions
« objectives »
comme l'extrême vieillesse des populations occidentales, l'impact
des
diverses pollutions, des déséquilibres alimentaires, le
gaspillage des ressources, etc...
En conclusion, nous ne sommes pas au début de la fin de la crise
mais bien à la fin du début de celle-ci. Elle va
s'aggraver de plus en plus rapidement.
Dans un prochain article nous tenterons de donner quelques pistes
pour trouver un début de solution sur le plan individuel ou pour
des Petites et Moyennes Entreprises. Nous n'aborderons pas le
problème sur le plan de solutions politiques parce que nous ne
croyons pas
à l'existence de forces sociales significatives capables, ou
même
seulement désireuses, de mener actuellement les changements
politiques nécessaires.
Extrait du livre en préparation : Civilisation en crise, La
monnaie, l'argent et l'économie réelle. Ce sujet est
abordé
avec plus de détails et une analyse nettement plus en profondeur
dans le
livre Civilisation en crise, Le pavé dans la mare. Publié le Nombre de lecture
Copyright : vous pouvez reproduire cet article à condition de mentionner l'auteur et de créer un lien vers ce site.
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Ce livre étudie en détail le fonctionnement de l'économie. Quel est le rôle de l'argent? Comment est-il créé? Est-il la vraie richesse? Quel rapport entre argent et productions industrielles et agricoles? Que représentent les produits financiers et les produits dérivés du crédit? Peut-on sans cesse vouloir consommer plus alors que les ressources naturelles sont finies? C'est une approche multidisciplinaire de l'économie dans laquelle l'analyse des motivations joue un rôle très important.
Des voies relativement détaillées sont proposées pour aller vers des solutions aux problèmes actuels. La dernière partie du livre est consacrée aux analyses géopolitiques et prévisions. On y découvre également l'approche différente d'autres civilisations.
L'argent, loi naturelle ou contrainte sociale?
Au moyen d'exemples pratiques, ce livre explique comment fonctionne la société, ce qu'est l'argent, comment il est créé et introduit dans les circuits de l'économie. Il explique également la spéculation, les produits financiers et leurs relations avec le crédit et montre les différents facteurs qui interviennent directement mais aussi indirectement dans le coût final des produits.
L'économie est également le produit d'un système social, culturel, éducatif et de relations humaines, quelles en sont les conséquences pratiques? Quelles sont les voies vers des solutions possibles?
Et si on osait vivre autrement, un monde plus humain, avec moins de stress ?
Dans ce roman fiction-réalité, les protagonistes cherchent à construire un autre mode de vie, plus humain, plus créatif, à reprendre le contrôle de leur destinée et on profite de leurs aventures et rencontres pour lever le voile sur la façon dont la situation économique actuelle est vécue dans les différentes couches de la société
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